Les documents les plus authentiques sur les costumes de l'antiquité Égyptienne sont les sculptures et les peintures de cette période, même si l'esthétique est sublimé les historiens valide les coutumes vestimentaires de l'époque.
Les hommes et les femmes étaient habillés de façon similaires. La différence était dans les longueurs. Les femmes portaient leurs robes plus prés du corps, les hommes la taille était démarqué pour mettre le torse en avant.
* Les tissus majoritairement en Lin ou en coton étaient souvent noués, plissés et (ou) empesés
Néfertiti (-1370 à -1333) exposé au Louvre
Les vêtements sont souvent réservé aux nobles, car le peuple porté juste le shenti quand ils portaient quelques choses.
*Le shenti est une sorte de grand rectangle de tissu que l'on fixait autour des reins par une ceinture et a laquelle s'ajouta vers 1500 av. J-C. la Kalasiris, qui est une large tunique très fine retenue par une ceinture.
Le shenti
-1500 a -1200 Av Jc Kalasiris
vous voulez en savoir plus:
http://www.cosmovisions.com/costumeEgypteChrono.htm
http://www.egypte-antique.com/
HISTOIRE DES COSMÉTIQUE SOUS L'EGYPTE ANTIQUE
La femme égyptienne :
Elle se fardait les joues et les lèvres en rouge.
Les yeux étaient soulignés de fard noir (à base de plomb, d’oxydes de manganèse, de noir de carbone, ou de composés d’antimoine).
Exemples de formes du trait cosmétique
autour de l’oeil à l’époque d’Aménophis III.
(D’après Bothmer, 1990.)
Les égyptiens appliquaient également un fard vert (à base de malachite verte) sur les cils et les sourcils, la paupière inférieure, ou sous les yeux (1er empire). Le turquoise, les argiles rouges ou les violettes mélangées avec des oxydes de cuivre ou de fer, permettent d’obtenir de nouvelles nuances, très prisées. L’ajout de poudres blanches, telle que la cérusite (minéraux), permettaient aux Égyptiens de créer une gamme de produits du gris clair au noir dont les textures étaient modifiées par l’addition de graisses.
La blancheur du teint s’obtenait alors par l’application d’une pommade à base d’albâtre (roche calcaire) et de lait d’ânesse.
Les emplâtres de beauté étaient à base de cervelles de tortue, de suie, de fiente d’ibis délayés dans du lait d’ânesse.
Les cheveux, les mains et les ongles étaient teints au henné. Les huiles et les graisses
parfumées appliquées sur la peau servaient essentiellement à la protéger.
Les hommes et les femmes portaient sur la tête des cônes parfumés.
Les Égyptiens prenaient grand soin de leur corps. Ils se lavaient plusieurs fois par jour, se
frictionnaient avec des onguents à base de térébenthine, d’encens, de parfum et de graisses.
Si vous voulez en savoir plus:
https://www.lajauneetlarouge.com/article/les-cosmetiques-au-temps-de-legypte-pharaonique#.W3_NFOgzbIU
COIFFURE
Les enfants, garçons et filles, avaient le crâne rasé excepté une tresse sur le côté de la tête
appelée Tresse de l'Enfance (hommage au dieu Horus ) .
La façon dont était décorée la Tresse indiquait le rang social.
Adolescent les hommes se rasaient entièrement le crâne alors que les femmes se laissaient
pousser les cheveux.
Les coiffures féminines étaient variées, souvent longues.
Les cheveux pouvaient être lisses, frisés, ondulés, nattés ou attachés en une queue de cheval.
Sous l'Ancien Empire (2575-2134 av. J.-C.), les femmes préféraient avoir les cheveux courts ou mi-longs alors que sous le Nouvel Empire (1550-1070 av. J.-C.), la mode était aux cheveux longs ou aux perruques.
Dans les deux cas, l'ornementation était abondante : diadème, perles (en or, en pierres précieuses, en ivoire, etc.),épingles, peignes, fleurs, etc.
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